Earth 2
Earth 2 se déroule 200 ans dans le futur. La Terre est devenue invivable en raison de la pollution, des guerres et conflits politiques en tous genres. Les êtres humains vivent dans des stations spatiales en orbite terrestre.
Mais beaucoup d’enfants nés dans les stations souffrent d’un mal mystérieux qui les emportent à l’age de 9 ans. Une théorie précise que cette maladie est due à l’absence de nature et par conséquent des microbes bénéfiques à l’organisme.
La mission appelée « Projet Eden » a pour but d’explorer une nouvelle planète située à 22 années lumières de la Terre, et de préparer l’arrivée de nouveaux colons, notamment des familles avec des malades.
Earth 2 est donc une série de science fiction américaine, créée par Billy Ray, Michael Duggan, Carol Flint et Mark Levin. Elle a été diffusée sur NBC de novembre 1994 à juin 1995. Seulement une seule saison de 22 épisodes a été produite.
De nombreux personnages sont présents dans la séries et autant d’acteurs, mais seulement 3 d’entre eux sortent véritablement du lot. Debrah Farentino qui joue le rôle principal de Devon Adair est apparue notamment dans les films « 3 Hommes Sur Le Green » et « La Famille Green ».
Clancy Brown est probablement celui qui a la filmographie la plus longue. Il est notamment connu pour son rôle (vocal) de Monsieur Krabs dans Bob L’Eponge. Il était également l’inquiétant frère Justin Crowe dans Carnivàle, La Caravane De L’Etrange. Il a également été Kelvin Inman dans Lost.
Mais c’est probablement le visage de Rebecca Gayheart qui vous dira quelque chose. Depuis Earth 2, elle a joué dans Scream 2, Westland et elle était Betty Rhomer dans la première saison de Dead Like Me.
Earth 2, est donc un western moderne aux confins des la galaxie. La série tient-elle toutes ses promesses? Que faut-il en retenir? Des questions auxquelles nous tentons de répondre dans notre dossier podcast à découvrir ci-dessus.
En quelques mots...
Sarah Sepulchre
Alexandre Marlier
Earth 2
Un western intergalactique bien trop sage que pour capter l'attention du téléspectateur. D'autant qu'en plus, les scénaristes semblent prendre un malin plaisir à toujours se diriger dans la mauvaise direction...