Better Call Saul
Better Call Saul, spin-off de Breaking Bad, a bénéficié d’un battage médiatique hors norme avant sa mise à l’antenne par AMC. Il faut dire que les attentes étaient grandes: Vince Gilligan allait-il nous proposer une série aussi forte que la série mère? Ou bien la déception sera-t-elle aussi grande que l’attente?
Il est vrai que, ces dernières années, de nombreux spin-off de séries à succès se sont fait étriller, tant par la critique que par le public. Alors, qu’en est-il ici? Et bien autant rassurer tout de suite les fans, on est devant une très bonne série.
Bien entendu, l’ambiance est assez différente de celle de Breaking Bad, mais la série fonctionne très bien autour du personnage de Saul Goodman, l’avocat véreux… Elle est aussi beaucoup plus drôle.
L’histoire se déroule avant les événements de la série mère, Saul Goodman s’appelle encore Jimmy McGill et n’a pas encore rencontré Walter White.
C’est un avocat vivant à Albuquerque, au Nouveau-Mexique, qui a de grandes difficultés financières. Ce qui va le faire basculer puisqu’il sera contraint à se livrer à quelques escroqueries pour mettre du beurre dans les épinards.
Il va alors rencontrer quelques mauvais garçons avec qui il va être contraint de s’associer: Nacho Varga et Mike Ehrmantraut.
Au casting, on retrouve bien entendu Bob Odenkirk dans le rôle titre, mais également Jonathan Banks qui reprend son rôle de Mike.
L’attente était énorme de la part des téléspectateur. En témoigne le pilote de la série qui a battu tous les recors d’audience pour un « series premiere » sur une chaîne câblée américaine avec près de 7 millions de téléspectateurs.
On développe et on analyse le début de la saison 1 de la série dans notre podcast « It Série » à découvrir ci-dessus!
En quelques mots...
Cindy Willeme
Better Call Saul
Des personnages hauts en couleurs, humour noir et magouilles, voici la recette de la spin-off réussie de Breaking Bad.